bonsoir,
je pourrais t'indiquer des tas de recettes solutions, merci Google ou Bing, mais je préfère aller plus loin.
En fait un mode de fonctionnement ,socialement codifié et stratifié.
On peut se référer à Claude Lévi Strauss ou Georges Frazer.
les différents niveaux de préparation culinaire selon le moment, le lieu, les convives.
Entre manger pour se nourrir, tout et sans apprêt, nourrir sa famille grâce à ses produits de base, la cuisine de la ménagère, qui est souvent excellente, la cuisine de "luxe", pour honorer les invités ou les situations.
Dans cette catégorie, les produits ne devraient pas provenir des ressources privées.
C'est un stade d'intimité que l'on ne franchit parfois jamais.
Cela exclut d'office les viandes rouges autres que rôties.
Les blanches, peuvent être cuites mais se doivent de recevoir une sauce, une préparation qui détourne leur forme initiale.
En cas de primo invitation, aucune viande n'est "nue".
La sauce est de rigueur.
Comme ce vernis de politesse indispensable.
Plus tard, selon l'évolution des rapports, on peut aller vers plus de convivialité.
Donc, à moins d'avoir d'autres informations, il convient d'éviter les éléments qu'ils produisent, sauf à trouver une utilisation qui leur est inconnue, mais pas trop éloignée de leurs standards culinaires, un joli râble de lapereau farci , par exemple.
Tenir compte de l'importance du "rôti".....et de la sauce.
Prévoir tout de même un peu de poisson, un qui n'a pas trop de goût ni d'arêtes, une petite sauce pour la politesse, on ne sait jamais.
Pour le dessert, soit on est une pro , soit on achète.
La qualité compte moyennement, l'apparence est primordiale.
La tarte est à bannir.
Plus tard peut être.
Voila ,voila
Un carré d'agneau, pourquoi pas, qui en fait pour les repas ordinaires?
Ce n'est jamais que des côtelettes pas fini de couper.