La souris partie

Compte inexistant

27-08-2013 à 16:39:05

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Quand on rédige un texte, et pas seulement dans les sympathiques rubriques Nacouses, il arrive parfois de « perdre le mulot », c.a.d. de ne plus trop savoir exactement où se trouve réellement le « Pointeur ».

Voici une astuce sympa pour le localiser sans coup férir :
1 – Ouvrez le panneau de configuration.
2 – Double cliquez sur l’item : « Souris ». La boîte de dialogue suivante s’affiche :

3 – Dans l’onglet « Option du pointeur », cochez l’option : « Montrez l’emplacement du pointeur lorsque j’appuie sur la touche CTRL ».
4 – Cliquez sur : « Appliquez », et fermez la boîte de dialogue.

Ainsi, dans quelque application que vous soyez, en tapotant la touche CTRL, vous retrouvez instantanément votre Mouse fugueuse.
Note : Cette astuce est particulièrement appréciable quand on utilise le « Touch-Pad » sur un ordi portable.

ré édité 27 aout 2013

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Héra

14-09-2013 à 11:18:57

NAC = Notre Aventure Continue !!

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Bien vu ton post papy mais pour ma part pas de souci du côté de la bestiole.

Par contre chez mes parents c'était la panique cet été. Une visiteuse la nuit et maline avec çà. Nous avons fini par trouver par où elle passait et mis fin à ses déambulations nocturnes.
Maman avait trouvé des pois chiches dans le salon (elle en avait mis à tremper dans la cuisine) et d'autres petites bizarreries qui l'ont alertée. La coquine remontait du garage par la conduite d'eau de la salle de bain et se faufilait par un trou minuscule derrière le lavabo pour re disparaitre le matin.

Héra
"La critique est aisée mais l'art est difficile"

Compte inexistant

27-09-2013 à 11:20:47

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Il n'y a pas que les petites souris qui soient malignes, il y a aussi des sales rats.
Témoin cette petite anecdote :

Au début de la Médiathèque de Chambéry, les "mulots" sophistiqués n'existaient pas, on ne trouvait que des bestioles avec une grosse boule dedans, très facile à subtiliser, pour la nettoyer.

Une grande épidémie s'est propagée dans tous les postes accessibles au public, les boules disparaissaient comme par enchantement.
Le seul coupable pris la main dans le sac, ce n'était pas un potache farceur, mais un vieux rat de bibliothèque qui ce vengeait d'une recherche inaboutie.

Ce qui infirme les allégations théologiennes selon lesquelles la peste serait infligée par la colère de Dieu, (qui n'existe pas, c'est Lui-même qui me l'a dit), ce fléau est bien propagé par les rats, des villes, des champs, et même de bibliothèque.