Y'a de ça, mais c'est pas ça.
De Gaulle, oui, mais ce n'était que le deuxième derrière Brigitte Bardot !
Une petite anecdote authentique:
Dans les années 50, (du siècle dernier), j'ai fait une carrière fulgurante comme loufiat dans un hôtel de la Croisette, à Cannes.
La BB, starlette montante, mais pas encore consacrée, n'avait pas droit au Carlton.
Mais presque, juste à côté, et comme elle était vraiment "nature", elle n'avait aucun complexe pour se changer de tenue, et j'ai assisté, dans le modeste cadre de mes fonctions, au décarpille intégral du futur sex-symbol, vision particulièrement traumatisante pour le puceau que j'étais.
Des années plus tard, en instruction à la Légion Étrangère, la section effectue une série de "pompes", rien d’inhabituel, pas plus que le mantra partagé par nombre d'autres troupes de Choc, qui consistait à psalmodier :
- Brigitte Bardot est une belle femme, mais j'suis trop con pour la baiser.
Et ça me fait rire, au grand dam du Sergent Instructeur, qui m'en fait voir de toutes les couleurs.
Une heure après, j'étais dans les locaux du BSLE, (Bureau de Sécurité de la Légion Étrangère), et là, ça ne rigole pas.
Je dois dire pourquoi je rigolais. Difficile à expliquer.
- Mon Capitaine, je peux confirmer que Brigitte Bardot est une belle femme, moi, je l'ai vu toute nue, de mes yeux vue !
Le Capitaine, il a été jaloux.
Dix ans plus tard, le monde entier était jaloux, la Première Dame de France, ce n'était pas Yvonne, c'était BB,
Le vieillard maniaque, il venait en deuxième position.
Il était juste derrière, mais ce con n'en a pas profité pour lui mettre la main au cul. Pauvre France !