Je n'oublerai jamais mon premier baiser un soir de 14 juillet en Bretagne ... c'était sous un réverbère, pas de danger qu'on nous loupe ... ma mère m'a passé un de ces savons ...
Ahhhhhhh !
La honte de ma vie...mon père qui surgit dans la salle de bal (lumières très, très tamisée) et qui me découvre assise sur les genoux d'un garçon
Ce Dimanche après-midi là j'avais invité une copine du lycée à la maison pour "travailler" et nous étions allées nous aérer l'esprit ...à la salle des fêtes se donnait un bal ( hasard ? )
Héra
"La critique est aisée mais l'art est difficile"
Pour démarrer au plus lointain de mes souvenirs, je n'oublierai jamais la semaine que j'ai passée en pension chez les soeurs au Congo, à l'âge de 5 ans, pour la naissance de ma petite soeur Rose-Marie. J'ai ressenti la 1ère grande détresse de ma vie en me croyant abandonnée par mes parents...
Bon alors si on remonte aussi loin
Je n'oublierai jamais le jour où mes parents m'ont obligée à jeter ma "sucette" de bébé par dessus le mur de clôture, dans le champ voisin
Mais peut-être me l'a-t-on tellement raconté que j'ai l'impression d'avoir vécu ce cauchemar
J'ajoute que aucun de mes enfants n'en a eu
Héra
"La critique est aisée mais l'art est difficile"
Je n'oublierai jamais le jour où ma mère m'a enfermée dans la cave dans le noir ... j'avais 4 ans, j'ai eu tellement peur que j'ai pris une pelle à charbon et je l'ai jetée dans un carreau avec l'intention de m'enfuir ...
Je sais que tu ne lis pas de roman Cléo mais tu devrais essayer Douglas Kennedy ;) ces personnages sont maudits par le destin à un point inimaginable...Mais trouvent la force d'en faire une Force justement
Héra
"La critique est aisée mais l'art est difficile"