Nuit de noces

12-11-2011 à 16:28:27
Une jeune, très jeune mariée, sort du couvent pour rejoindre son promis, un Fils de Crésus au cul cousu d’or, superbe athlète d’à peine son ainé de trois ans.
La cérémonie fut splendide, la cathédrale n’avait pas assez de murs pour contenir la foule en émoi.

Mais, sous le voile virginal de la nouvelle Elue, une ombre subsiste, que son Protecteur Naturel cherche à dissiper :
- Ma mie, je te sens triste. Aurais-tu un regret ? Un remords ?
- Oh que nenni, mon Bel Amour Eternel. Juste une inquiétude.
- Point d’inquiétude, ma doulce, dis-moi ton tourment, j’y mettrai fin.
- Dans ce plus beau jour de ma vie, je m’avance, innocente, et je ne sais point ce qu’est un pénis.

La cérémonie fut grandiose, le repas de noces à faire pâlir je fantôme de Louis le Quatorzième, et vint enfin le moment de vérité.
Avec mille et mille précautions, le bellâtre se dévoile dans toute sa splendeur, confortée par le soutient d’une petite pilule verte, au cas où …

- Voici, ma Colombe adorée, un pénis, que dis-je, un pénis ? Non ! LE Pénis !!!
- Ah, c’est ça ? Mais alors, c’est comme une bite, mais en plus petit ?

Pas de quoi pavoiser, d’accord, j’ai honte.
Papyazer.
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15-11-2011 à 09:51:08
Papy je me suis permis de déplacer ton post dans la rubrique "blagues"

Coïncidence, dans mon livre de chevet actuel, une nuit de noces, la jeune fille non "briefée" par sa mère ou ses soeurs ne sait pas ce qui l'attend hormis qu'on lui a conseillé de se laisser faire, qu'elle aurait mal, ne devrait pas se plaindre et devrait se nettoyer vite après sans se faire remarquer. Mais surprise ! On l'aurait trompée

"Cent ans" de Herjog Wassmo
La vie de plusieurs générations de femme en Norvège, vers 1850

Héra
"La critique est aisée mais l'art est difficile"
15-11-2011 à 15:45:35
Au temps pour les crosses !

Ce n’était pas MA nuit de noces que je voulais raconter, (elle est bien plus rigolote, je le ferai sans doute un jour dans la rubrique idoine), mais je suis allé un peu trop vite en besogne, j’ai mal compris l’étiquetage des tiroirs, je réserve l’armagnac pour la cuisine, pour l’apéro, j’ai donné les clefs de la cave à Jocelyne.

Dommage, Héra, et pardonne, du haut de ton Olympe, l’humble mortel que je suis.

Humblement :
Papyazer.
15-11-2011 à 18:09:14
y'a rien à pardonner Papy, mettre les chaussettes dans le tiroir des slips çà arrive à tout le monde

Ta nuit de noces par contre je l'aurais laissée en bonne place
Si tu vas raconter la tienne, j'ai une anecdote aussi pour la mienne Tiroir "Amour" ou "blague" c'est selon

Héra
"La critique est aisée mais l'art est difficile"
15-11-2011 à 20:39:15
L'histoire de Papy, j'en ai une variante ...

Trois blondes discutent de leurs chéris :

- moi je sors qu'avec des minets ...

- rhooo voui moi aussi ! c'est vachement bien les minets !

- eh bien moi je sors qu'avec des PDG ...

Les deux autres en coeur :

- c'est quoi PDG ???

- PDG ? vous voyez une supérette ?

- Voui !?

- eh bien lui des supérettes, il en a 3500 !

- rhooo là là !!!

- et quand il vient me chercher avec son cabriolet ...

- rhooo c'est quoi "cabriolet" ?

- un cabriolet ? c'est une voiture sans toit mais avec une capote qu'on peut mettre ou pas ...

- rhooo là là !!!

- alors il m'emmène dans son duplex ...

- rhooo c'est quoi "duplex" ?

- un duplex ? c'est deux appartements l'un au-dessus de l'autre reliés par un escalier ...

- rhooo là là !!!

- et alors il me porte dans sa chambre et il me prend avec son pénis ...

- rhooo c'est quoi "pénis" ?

- un pénis ? c'est comme une bite mais en plus mou !




Le Bonheur, c'est désirer ce que l'on a ... :|
15-11-2011 à 21:13:10
Ben puisqu'on en parle...

C'est le premier jour d'école pour une toute jeune professeur de français, plutôt mignonne, ce qui ne gâche rien d'ailleurs...
Lorsqu'elle entre dans la classe, elle remarque aussitôt que quelqu'un a écrit le mot "Pénis" sur le tableau.
Elle scrute tous les visages de la classe pour tenter de déceler qui aurait pu faire le coup, mais en vain.
Du coup, elle efface le tableau et commence son cours.
Le deuxième cours, avec la même classe, cette fois-ci, le mot "Pénis" est écrit en plus gros sur le tableau.
La prof efface sans rien dire et commence son cours.
Le lendemain, puis le surlendemain, puis le sur-surlendemain, même scénario, avec à chaque fois le mot "Pénis" écrit un peu plus grand sur le tableau...
Vient enfin le samedi matin. La prof entre et s'attend a lire le mot "Pénis" en grand sur le tableau, mais à la place, il y a écrit:
- PLUS VOUS LE FROTTEZ, PLUS IL GROSSIT !

Héra
"La critique est aisée mais l'art est difficile"
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